L’un des plus grands maîtres de la tradition
des moines de la Forêt
le vénérable thaïlandais Ajahn Chah,
a marqué toute une génération d’Occidentaux.
L’une des raisons de sa popularité fut la simplicité
et la profondeur de ses enseignements,
dont le thème principal revient à faire
comprendre l’impermanence.
À l’occasion de la parution de ses enseignements,
édités pour la première fois dans leur version
longue, « Sagesses bouddhistes »
reçoit Jeanne Schut, traductrice de ces textes.
« Je suis allé partout à la recherche d’un endroit pour méditer
sans réaliser que cet endroit était déjà là,
dans mon coeur et dans mon esprit.
Toute la méditation est juste là, en nous.
La naissance, le vieillissement, la maladie et la mort sont juste là.
J’ai voyagé partout jusqu’au bout de mes forces et ce n’est que lorsque
je me suis arrêté que j’ai trouvé ce que je cherchais – en moi. »
Ajahn Chah